Les réactions surgissent de partout après le récent massacre perpétré par les présumés rebelles ougandais de l’ADF dans la soirée de samedi 22 septembre 2018 en plein centre-ville de Beni.
Dans un communiqué parvenu à la rédaction du groupe de presse la republique, la direction politique nationale de Congo positif, parti École, parti anti chômage se dit consternée du dernier carnage de Beni.
« C’est avec consternation et colère, que nous avons appris le carnage qui s’est opéré, encore une fois, contre la paisible population congolaise de Beni dans la province du Nord-Kivu et nous nous sommes réunis d’urgence pour examiner la situation et proposer des mesures urgentes de sécurité de manière à préserver durablement la vie des concitoyens établis dans la région», signe, Larson Mukaka Soki,porte-parole du parti.
En effet,la direction politique de ce parti, constate que les massacres des compatriotes dans la région du Kivu en général et à Beni en particulier, sont devenus une monnaie courante. A cela s’ajoute le silence radio du monde entier, y compris celui des institutions de la République est une indifférence coupable traduisant un abandon total de cette paisible population dont le seul péché est celui de se retrouver dans cette zone ciblée par des terroristes méprisables et sans aucune considération pour la sacralisation de la vie humaine.
-Au finish ce parti estime que les massacres qui se passent de manière récurrente au Kivu en général et à Beni en particulier, plantent le décor d’un foyer terroriste dangereux que nul ne saurait freiner s’il prenait encore plus d’ampleur.
Ces mêmes massacres visent l’extermination de tout un peuple, nos concitoyens basés dans la région de Beni ; ce qui doit impérativement être considéré comme un génocide,ajoute ce même communiqué.
Tenant compte de ce qui précède, cette structure politique exige :
1.Que le gouvernement congolais dote toute la population de Beni des armes d’autodéfense personnelle et en contrôle l’usage.
2.Que les massacres qui se passent à Beni soient considérés urgemment comme un génocide et que le gouvernement congolais saisisse rapidement les instances Nations-Unies et internationales pour mener des enquêtes sérieuses et punir le cas échéant les commanditaires ,les auteurs et leurs complices de ces sales besognes.
Fabrice Ngima
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