Cette accusation est contenue dans une déclaration dont la republique.net a reçu copie ce lundi 04 octobre.
Cette communauté culturelle Nande dit constatée l’implantation d’une nouvelle population dans le territoire de Beni et particulièrement dans ses terres consacrées pour l’agriculture.
Elle se dit victime des massacres en répétition dénonçant un remplacement des populations autochtones par celles d’expressions Kinyarwanda qu’elle qualifie de menace.
A la même occasion, elle note un faible engagement des forces de l’ordre et de la Monusco dans la traque des présumés ADF qui endeuillent cette partie Nord de la province.
« La vie humaine étant sacrée , les communautés victimes des massacres recommandent à l’État congolais de tout faire pour donner l’identité exacte des égorgeurs à fin d’éviter le flou délibérément entretenue; de repenser complètement sa stratégie de Littré contre ces égorgeurs par ce que son armée a montré ses limites 7 ans durant; de contrôler les mouvements des populations se nommant Banyabwisha sur le sol congolais » ajoute ce document.
Par ce fait, cette population invite le gouvernement congolais à contrôler les déplacements abusifs des « Banyabwisha » dans cette partie pendant cette période où les massacres montent de température .
Trésor wayitsomaya
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