Dans une déclaration rendue publique ce lundi 20 septembre, la jeunesse Nande pointe du doigt plusieurs personnalités reprises dans le Rapport de l’ONU sur la sécurité de nouer des relations avec l’ennemi de la paix.
Cette structure s’oppose à la persistance des massacres qui ont coûté la vie à plusieurs personnes et d’autres continuent à vivre dans des conditions inhumaines dans les lieux de refuge.
Elle s’inquiète du fait que 90% des personnes tuées sont issues d’une même communauté. La jeunesse Nande estime que la plupart des véhicules et d’autres biens brûlés ou visés appartiennent aussi à cette même communauté.
La structure des jeunes demande aussi l’identification des populations étrangères accusées dans le même dossier. Elle exige leur rapatriement selon le pays d’origine en déférant ceux qui sont impliqués dans les massacres de la justice et le relèvement de toutes les troupes (ex-RCD, CNDP et M23 ) et autres reconnus dans la déstabilisation de la paix à Beni-Irumu.
Au même moment, ces jeunes invitent le gouvernement à travailler sur les causes de la persistance des massacres et à collaborer avec la population afin de couper le chemin aux criminels qui endeuillent la zone.
Trésor Wayitsomaya
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