Cette requête a été formulée ce lundi 13 septembre à Lubumbashi à l’occasion du quatrième jour des états généraux de l’enseignement supérieur et universitaire.
Pour le Dr Nsadi, président de l’ordre national des médecins, cette fermeture doit se faire dans l’urgence. Il s’appuie sur l’enquête de viabilité que sa structure a mené en 2019. Il propose que certaines facultés soient fermées ou fusionnées si elles ne répondent pas aux critères.
En outre, il renseigne que face au défaut de formation, l’ordre a décidé de soumettre tout détenteur des diplômes de médecine à un test avant son inscription au tableau de l’ordre.
Prenant la parole à son tour, le ministre de l’ESU a convié l’assistance à s’approprier les résultats des enquêtes menées par l’ordre, car ils reflètent l’état actuel des établissements qui organisent la médecine.
«Nous devons tous nous mettre d’accord sur les solutions à apporter, puisque tout le monde peut se retrouver malade un jour, ne pas se faire soigner par une personne qualifiée est un grand risque. Il faut donc envisager comment réorienter les étudiants des établissements qui seront fermés où fusionnés», a- t-il dit sous les applaudissements des participants.
Les états généraux de l’enseignement supérieur et universitaire vont se clore ce jeudi 14 septembre prochain.
Robert TSONGO
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