Comme partout sur l’ensemble du territoire national, ce lundi 23 mai 2022 a été lancé la session préliminaire des épreuves des examens d’État édition 2021-2022 dans la province éducationelle de L’EPST Nord-Kivu III,
Ayant fait la ronde de certains centres dont Sake 1 et 2 ainsi que Bweremana 1 et 2, l’Inspecteur Principal de cette province éducationelle Dieudonné Ukumu Woloka, dresse un bilan satisfaisant au premier jour des épreuves, estimant que tout s’est passé dans le calme malgré l’absence de certains élèves qui, pour des raisons non encore élucidées ont raté les épreuves de ce lundi.
« Ce matin, j’ai parcouru quatre centres, et partout vraiment c’est calme, il n’y a pas ni problème, ni pénurie de quoi que ce soit, mais nous avons remarqué qu’il y a quand même des absences, j’ai demandé le pourquoi aux chefs de centre, ils n’ont pas pu me répondre parce qu’ils faudrait qu’ils puissent se renseigner sur leurs causes, je pense que j’aurais les raisons ce mardi, au deuxième jour des épreuves » a laissé entendre l’IPP Dieudonné Ukumu Woloka.
Il recommade aux préfets des études de suivre les instructions qui régissent l’administration du centre d’examen d’Exetat concernant notamment leur non présence aux centres d’examen mais aussi de ne pas prendre en otage l’argent des élèves pour leur participation aux épreuves, tout en demandant à ces derniers de s’acquitter des frais de participation pour faciliter la bonne passation des examens.
Celui-ci prévient les élèves retardateurs qu’ils courent le risque de perdre certaines épreuves étant donné que plusieurs d’entre eux pour des raisons qu’on ignore sont arrivés en retard dans certains centres ce lundi.
S’agissant de la passion des épreuves sans macarons, l’IPP du Nord-Kivu III rassure les élèves que cela n’aura aucun impact sur les résultats, il indique que le lot des macarons sont déjà disponibles et pourront servir à partir de la session ordinaire faute de leur livraison tardive.
«Les macarons sont venus en retard, c’est encore dans l’agence, même s’ils sont là, c’est un peu tard, les chefs de centre sont déjà déployés, nous allons en avoir et les distribuer à la session ordinaire, ça ne peut pas pénaliser les enfants dans la réussite ou autre chose parce qu’ils ont leurs cartes d’élèves pour contrôler leurs identités. Cette situation est due au fait que les photos capturées pour les mettre aux macarons qui doivent également être mises aux diplômes d’État n’ont pas été vite traitées à Kinshasa » fait savoir l’IPP.
Pour le compte de ce lundi 23 mai, premier jour de la session préliminaire, les élèves finalistes ont fait face à l’épreuve de dissertation.
Jérémie Kabali
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